Premières expériences et engrenages : Chapitre 67 : Sorties pour déjeuner

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il y a 1 an

Chapitre 67 : Sorties pour déjeuner

Ladyscar m’ôta les pinces. Cette fois la douleur était sans commune mesure. Je les avais gardées trop longtemps et ce n’étaient plus les jouets de débutants qu’elle m’avait offerts quinze jours auparavant. Je me frottais longuement les tétons sans qu’aucune maîtresse ne me le proscrive. J’espérai qu’elles poursuivraient le démontage, mais à part de dévisser les crins de cheval du plug et de ne me remettre ni le bâillon ni le masque, je gardais la même tenue que ce matin. Outre les vêtements féminins, il me restait l’attirail au centre de mon corps, le plug anal, la cage électrique et les poids alourdissant mes testicules.

Ben redescendit avec une robe d’été bleue un peu transparente. Elle était courte, élastique et très moulante. Elles se mirent à plusieurs pour me l’enfiler.

  • Le plug est trop visible, dit Ladyscar.

  • C’est un problème ? demanda Tata Marguerite, usant d’un ton démentant la question-même.

  • C’est dommage qu’on lui enfile une robe sexy pour qu’on la croit avec une crotte au cul, confirma Lady Christine. J’en ai un autre où l’extérieur n’est pas visible.

Le fait que ce fût elle qui fasse la proposition, ne m’indiquait rien de bon. Elle sortit l’instrument de son grand sac et, en effet, si elle n’avait pas menti sur sa partie extérieure, la partie intérieure était beaucoup plus large avec sa forme composée de quatre grosses boules de tailles progressives, dont la dernière paraissait plus large que tout ce qui était entré jusqu’à présent dans mon cul, pourtant bien accueillant.

  • Il est beaucoup trop gros. Celui avec lequel il est arrivé vendredi sera également invisible, s’offusqua Ladyscar à l’attention de Maîtresse Diane.

Cette dernière hésitait. C’est Tata Marguerite qui prit la parole la première.

  • Après la queue du mexicain et un peu de vaseline, ça va rentrer, assura-t-elle.

Notre hôtesse fit un geste à Ben que je vis sourire. Il sortit un pot de vaseline de taille maxi d’un tiroir de la commode et nous l’amena, validant ainsi les deux voix des fondatrices du club.

  • Je m’en occupe, dit Lady Christine à l’assemblée. Je te promets que cette fois, tu vas pleurer ma pisseuse, me murmura-t-elle en passant à côté de moi.

Si les deux premiers diamètres entrèrent facilement, la troisième m’arracha le cul. Je doutais que Lady Christine ait été si généreuse sur le lubrifiant que la taille du pot pouvait le prévoir. Sur la quatrième néanmoins, je sentis la facilité avec laquelle sa présence fut acceptée. Bien qu’il fallût une vingtaine d’essais, dont la plupart juste pour le plaisir de ma dominatrice à exercer ses aller-retours, elle finit par s’enfoncer complètement. Je sentis en revanche la petite, la première, qui atteignit alors des zones profondes, encaissées, encore insoupçonnées de mon corps.

  • C’est trop gros pour un cul de puceau, argumentai Ladyscar, me voyant mal à l’aise.

  • S’il est toujours puceau de la bite, il ne l’est plus du cul, insista Tata Marguerite.

  • Ça y est. Il est rentré, avoua Lady Christine, qui jouait déjà depuis plusieurs secondes avec.

  • C’est vrai, constata Maîtresse Diane, se retournant sur la pendule avec impatience.

Oh oui ! Que j’aurai aimé crier, pleurer. Mais je ne voulais toujours pas leur faire ce plaisir. Arrogance, orgueil, envie de continuer à souffrir ou de rendre fière ma maîtresse, je ne savais plus ce qui m’animait. J’avais l’impression d’en vouloir toujours plus. Je craignais que cette première larme serait l’aboutissement de ce que j’étais en train de vivre, la fin de mon plaisir, comme une sorte d’éjaculation oculaire. Je m’enfonçais volontairement dans cet abyme si profond que je n’en distinguais pas le bout. Ma maîtresse, m’a dit que je sortirais de ce weekend sans marques définitives. Cela pouvait-il juste me convenir comme le fond que je ne distinguais pas ?

Ma robe bleu-clair, turquoise, était bien choisie pour dévoiler mes formes, même si je trouvais qu’elle s’accoquinait mal aux roses de mes bas et de mes chaussures. Les bras nus, étaient, à tout choisir, pour l’homme que j’avais été, le plus étrange avec le bas de cette robe. Ce n’était pas tant qu’elle était naturellement courte ou qu’elle m’enserrait les cuisses à l’inverse des shorts et caleçons qui les laissaient s’exprimer, mais elle me remontait régulièrement jusqu’à dévoiler, non seulement le haut de mes bas et les pinces évoquant le porte-jarretelle, mais aussi l’ensemble de mes parties intimes et de leur équipement. Dès que je faisais de trop grand pas, que je ne faisais pas attention, elle se glissait vers le haut, le long de mes cuisses, la raccourcissant. Je pariai que si je n’y prenais pas garde, à la fin de la journée, elle terminerait sur mon ventre.

N'avoir dessous qu’une fine culotte de dentelle rose maillée, avec son évidement au niveau du cul, était plus déplaisant que de ne rien avoir. En prévenance de ce weekend, j’avais regardé le temps prévu : Peu de précipitation, mais des températures qui retombaient le soir sous le zéro. J’étais loin d’être convaincu que même avec un manteau cette tenue me siérait. J’avais juste l’avantage que nous étions au plus chaud de la journée.

Tata Marguerite me fit défiler devant elle.

  • Tu ne marches pas comme une femme, me critiqua-t-elle.

  • Lisa, appela Maîtresse Diane alors que les serviteurs étaient maintenant tous repartis. Montre-lui comment marche une femme.

Lisa ne m’aida pas vraiment en arborant une démarche sexy et expressive, qu’on ne devait trouver que sur certains trottoirs de certains quartiers ou dans les défilés de mode. Ces deux situations avaient la finalité de mettre la marchandise en valeur afin d’en augmenter les prix, mais la démarche n’avait rien de naturelle.

Cela plut donc assurément à mes maîtresses qui m’entraînèrent à procéder pareillement.

  • C’est très bien. C’est comme cela que notre Lassie doit marcher dans la rue. Vas-y ! Réessaye ! me tança Lady Christine.

Si elles voulaient que je marche comme une pute, je le ferai. De tout ce que j’ai fait depuis deux semaines, ce n’était pas le plus compliqué, ni le plus douloureux, ni même le plus humiliant. Je me dandinai alors, côté droit après côté gauche, poitrine en avant, les fesses se trémoussant en cadence.

Ce que j’avais oublié était tout cet attirail qui se mettait en mouvement en même temps que moi et m’infligeait de nouvelles sensations. Si la cage et les poids qui étiraient mes couilles me lançaient toujours, le corset vint à me serrer un peu plus par ces contorsions. Mais c’était surtout ce nouveau plug, d’une perversion sadique, qui appréciait le plus cette marche forcée en virevoltant au rythme de mes pas, exploitant au maximum sa fonctionnalité. Lady Christine activa sa télécommande afin de compléter mon tourment. Je craignais de jouir, rien qu’en marchant !

Après plusieurs essais qu’elles finirent par juger fructueux, Maîtresse Diane prit la parole.

  • Sortons maintenant avant que notre réservation soit cédée. Allons déjeuner !

Ben amenait les manteaux aidé par Lisa à qui notre hôtesse prodigua quelques tâches en particulier pour les soumis restant. La pendule sonna midi trente. Je découvris que nous ne partions qu’à cinq, les quatre dominatrices et moi.

Pendant une seconde, mon esprit s’arrêta se posant la question : Devais-je en être fier ou m’en inquiéter ?

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